Ombre contre lumière est le soixante-huitième chapitre du manga Valkyrie Apocalypse, ainsi que le deuxième chapitre du tome 17.
Résumé[]

L'arène spécialement conçue pour le huitième combat.
Le huitième combat du Ragnarök est sur le point de commencer. Depuis un petit véhicule flottant avec une proue en forme de grand crâne, Heimdall annonce que l'arène a été renouvelée dans un design spécial pour le huitième combat.
En effet, l'arène est un hexagone d'un diamètre d'une dizaine de mètres, et entouré d'une grande crevasse circulaire dont on ne voit pas le fond. De plus, un pilier orné d'une statue de gargouille se tient sur chacun des coins de l'hexagone formé par l'arène.
Heimdall rappelle ensuite le score : trois victoires pour les dieux, quatre victoires pour les humains. Il annonce ainsi que les dieux ont perdu l'avantage face aux humains pour la première fois de l'histoire, et qu'un dieu est venu tout droit des Enfers pour corriger cette honte.

Entrée de Belzébuth dans l'arène.
Le dieu en question, tenant une canne au pommeau en forme de crâne, détruit le grand mur de pierre aux motifs en forme de mouche géante, qui constituait sa porte d'entrée vers l'arène. Puis une passerelle se déploie devant lui pour lui permettre d'accéder à l'arène hexagonale au milieu de la crevasse de vide.
En même temps que Heimdall le présente, il avance sur la passerelle, entouré de crânes de feu qui flottent autour de ce court pont. Heimdall le décrit comme un dieu maudit, un dieu craint même par les autres dieux, un dieu qui inspire la terreur chez les humains qui l'ont donc appelé le "Seigneur des mouches". Au grand désespoir de tous les prêtres et prieurs des gradins de l'humanité, Belzébuth est entré dans l'arène.
Göll est surprise de voir que même les spectateurs divins ont l'air de ne pas apprécier Belzébuth, et d'être dégoûtés en le voyant. Brunehilde dit simplement que c'est cela, le genre de dieu qu'est Belzébuth.

Entrée de Nikola Tesla dans l'arène.
Heimdall se prépare alors à présenter le combattant pour l'humanité en ce huitième combat. La porte opposée à celle de Belzébuth s'ouvre, mais personne n'en sort. Puis brusquement, une grande quantité d'éclairs sortent de cette porte, illuminant l'arène avec de violentes décharges électriques. Belzébuth reste parfaitement imperturbable tandis que des éclairs pleuvent autour de lui. Heimdall est un peu embêté que tous les humains sentent le besoin de faire une entrée en scène originale, mais comme pour les deux derniers combats avec Qin Shi Huang et Bouddha, Heimdall accepte le défi et décide d'adapter sa présentation à la manière d'entrer en scène du prochain champion de l'humanité : Nikola Tesla.
Derrière la porte d'entrée de Tesla se trouve un couloir digne de science-fiction, illuminé par des lampes fluorescentes et au sol décoré comme un tapis de course fléché vers la porte menant à l'arène. Nikola Tesla, vêtu du Super-automaton Bêta, pose les pieds dans un dispositif électrique bâti dans le sol, et Tesla se retrouve soudainement propulsé à pleine vitesse vers l'avant, laissant deux sillages électriques derrière lui. Il sort donc de l'arène en s'envolant vers le ciel grâce à l'élan obtenu par son incroyable vitesse, et au moment où il retombe au sol en toute majesté, les éclairs pleuvant autour de lui changent de forme pour constituer la forme des lettres suivantes dans le ciel avec de l'électricité :
T E S L A
Contrairement à Belzébuth, Tesla semble très admiré par son propre camp, en particulier par les enfants qui sont charmés par le design ultra-moderne de son armure robotique, ce qui le fait presque ressembler à un jouet géant.

Belzébuth et Tesla se faisant face.
Belzébuth et Tesla se font alors face, prêts à en découdre. Tesla affiche un sourire confiant comme à son habitude, tandis que Belzébuth regarde à peine Tesla et conserve un air lugubre. Heimdall déclare le début du combat, et immédiatement, Tesla s'approche de Belzébuth d'un pas déterminé, puis lui tourne autour pour l'examiner sous tous les angles, comme il l'avait fait à Göndul au chapitre 66.
Tesla conclut que Belzébuth est très différent des descriptions faites sur lui par les références humaines, mais il sourit chaleureusement à Belzébuth et affirme qu'il est sûr que leur combat sera un objet d'étude à haute valeur scientifique. Göll s'interroge sur les agissements de Tesla, et Brunehilde met simplement cela sous le couvert de la "curiosité scientifique". Mais Belzébuth répond à Tesla que leur combat n'aura rien d'extravagant, et s'achèvera bien vite sur la destruction de Tesla, ni plus ni moins.
Tesla se met alors à moraliser Belzébuth sur le fait que la destruction est un acte mauvais, qui s'oppose à la création. Il déblatère alors sur la capacité de l'humain à se nourrir de connaissances, à imaginer le futur, et à créer. Puis il conclut que personne, ni même Belzébuth, ne peut arrêter la créativité humaine. Belzébuth reprend les termes de création et de progrès, que Tesla avait employés, et le Seigneur des mouches affirme que pour lui, ces termes n'ont pas le moindre intérêt. Puis il suggère de commencer immédiatement à s'entretuer.
Soudainement, Tesla remarque que le sol se fissure sous la canne de Belzébuth, dont la pointe touche le sol. Cette fissure se propage jusqu'à Tesla, qui esquive en sautant en l'air. Puis cette simple fissure continue à grandir jusqu'à atteindre un des six piliers qui encerclent l'arène. Le pilier est réduit en miettes sur le coup. Heimdall est impressionné et qualifie cette attaque de magie, mais Tesla observe attentivement la destruction causée par cette technique, puis annonce haut et fort que ce n'était pas de la magie : c'était de la science.
Personnages[]
Dans l'ordre d'apparition :
- Heimdall
- Hermès
- Arès
- Hugin et Munin
- Odin
- Loki
- Aphrodite
- Hrist
- Kojiro Sasaki
- Isami Kondo
- Soji Okita
- Jack l'Éventreur
- Hlökk
- Brunehilde
- Göll
- Michel de Nostredame
- Belzébuth
- Nikola Tesla
- Galilée
- Albert Einstein
- Marie Curie
- Isaac Newton
- Thomas Edison
- Alfred Nobel