Le chapitre bonus 2 fut publié à la fin du tome 17, et se situe donc entre le chapitre 70 et le chapitre 71. Il comporte trois courtes histoires.
Résumé[]
À l'époque où Adamas était encore coupé en deux[]
Le premier récit, d'une longueur d'une page et demie, prend place alors qu'Adamas était encore dans le laboratoire de Belzébuth pour se faire soigner, après que Poséidon le coupa en deux et le laissa pour mort. Adamas est donc encore séparé en deux morceaux, mais tout de même allongé confortablement sur une table d'opération.
Il regarde Belzébuth qui tient des échantillons de petites créatures, ressemblant beaucoup à la graine de Mara qui serait plus tard implantée dans Zerofuku, et au monstre qui se libéra d'une cellule vitrée et échoua à tuer Belzébuth au chapitre 61. Belzébuth semble prendre soin de ces petites créatures hideuses, en leur disant de bien grandir et de le tuer bien haineusement plus tard.
Adamas déclare alors nonchalamment que Belzébuth a des passe-temps véritablement déplacés. Fortement vexé, Belzébuth opère alors Adamas avec haine, en faisant gicler beaucoup de son sang et en lui arrachant des cris de douleur. Puis il laisse Adamas admirer sa nouvelle apparence dans le miroir, tout en lui disant que c'est sa punition pour s'être moqué des passe-temps de Belzébuth.
En effet, Adamas possède à présent un petit visage au milieu d'une tête en forme d'œuf, avec des lèvres efféminées et sans menton. Mais contre tout attente, Adamas aime beaucoup sa nouvelle apparence, et complimente les goûts de Belzébuth, ce qui surprend et désespère ce dernier. Les mots "I don't have any hope left" s'affichent, signifiant en anglais que Belzébuth a perdu tout espoir.
La raison pour laquelle il aime ce qui est flashy[]
Le deuxième récit, d'une longueur d'une demi-page, montre plusieurs scènes de la vie d'Adamas, de sa petite enfance jusqu'à un âge adulte où il avait la même apparence qu'avant que Poséidon ne le "tue". Au cours de toutes ces scènes, Adamas essaie d'attirer l'attention de Poséidon, dans le but que ce dernier le regarde.
Sur la première image, Poséidon est un bébé enveloppé dans une couverture, et il prend déjà un air ennuyé en refusant de tourner les yeux vers son grand frère Adamas, qui lui sourit pourtant gentiment et de très près en demandant "regarde par ici". En arrière-plan, Hadès daigne interrompre sa lecture d'un livre pour regarder Adamas, même s'il n'était pas visé.
Sur les deuxième et troisième images, Poséidon est encore enfant puis adolescent, et se tourne encore dans la direction opposée pour ne pas avoir à regarder Adamas qui essaie encore d'attirer son regard avec de gentilles grimaces. Et à chaque reprise, Hadès daigne regarder Adamas avec un sourire conciliant et amusé.
Sur la quatrième image, Adamas s'agite bruyamment en gémissant, et crie à quiconque veut l'entendre de le regarder. Poséidon cache son visage dans un livre ouvert, ayant apparemment honte de son grand frère. Cette fois encore, Hadès regarde Adamas, même s'il est moins souriant que les autres fois, et a plutôt l'air soucieux pour l'état mental d'Adamas.
Sur la cinquième et dernière image, Adamas est recroquevillé sur le sol, l'air seul et déprimé, probablement après avoir échoué à attirer le regard de Poséidon. Il gémit qu'il fait froid, et Hadès se baisse vers lui pour lui mettre une cape chaude sur les épaules.
C'est pourquoi Adamas tient tellement à se faire remarquer, après avoir été ignoré toute sa vie par son jeune frère, et aime donc ce qui est flashy. Cette deuxième courte histoire visait ainsi à expliquer pourquoi Adamas appréciait la nouvelle apparence flashy que lui donna Belzébuth dans la courte histoire précédente.
Troisième courte histoire[]
Le troisième récit, d'une longueur de quatre pages, prend place dans la chambre de Nikola Tesla juste après qu'il a effectué un Völund avec Göndul. Les principaux scientifiques à avoir travaillé avec Tesla sur les plans de cette armure sont éblouis d'admiration devant ce résultat final, particulièrement Thomas Edison, Marie Curie, Isaac Newton, Galilée, Alfred Nobel et Albert Einstein. Ils veulent s'approcher du Super-automaton Bêta pour le voir de plus près.
Göll est craintive de voir que sa sœur Göndul s'est transformée en une arme qui a l'air aussi violente. Brunehilde demande alors à Göll de quoi elle parle. Croyant que Brunehilde nie que Göndul a l'air violente sous cette forme d'armure, Göll se reprend, un peu rassurée, et se souvient que Göndul n'en reste pas moins leur sœur douce et attentionnée. Mais Brunehilde dit que Göll l'a mal comprise, car Brunehilde voulait dire que Göndul n'est pas devenue violente : elle a toujours été violente. Au même moment, Thomas Edison se fait foudroyer par un immense éclair sortant de l'armure de Tesla.
En effet, Edison avait essayé de toucher l'armure, ce que Göndul n'a pas apprécié. Göll panique en voyant l'état d'Edison, dont le corps entier est brûlé, et qui s'est évanoui avec le sourire. Brunehilde regarde le corps d'Edison sans grande surprise, en décrivant que Göndul est le genre de personne à poignarder les autres tout en affichant un gentil sourire. En effet, depuis l'armure de Tesla, Göndul semble apparaître avec une expression douce et rayonnante, mais elle menace Edison de ne plus jamais la toucher avec ses mains toutes poisseuses.
Göll s'arrête un instant, très surprise en voyant les autres scientifiques continuer d'essayer de toucher l'armure de Tesla. Bien sûr, ils adoptent cette fois un air davantage méfiant, mais leur curiosité scientifique l'emporte. Newton et Curie touchent l'armure, et rien ne se produit. Puis Galilée touche l'armure, et se fait joyeusement foudroyer à son tour. Göll panique une fois de plus en voyant l'état de Galilée, tandis que Brunehilde précise que Göll montre principalement son côté violent à ceux qu'elle n'aime pas, puisqu'ils ne présentent pas de grande valeur à ses yeux et elle se permet donc de les meurtrir sans souci.
Apparemment pour amuser Göndul, Tesla se baisse vers le corps d'Edison, et rapproche les mains de son armure de la tête d'Edison, tout en gardant un petit sourire dénué de compassion. Göndul continue alors d'envoyer de cruelles décharges électriques en continu à Edison, qui s'agite dans tous les sens en hurlant de douleur. Göndul rit en même temps, déclarant que c'est juste une petite blague inoffensive. Mais Göll tombe à genoux, désespérée, et supplie faiblement Göndul d'arrêter ce massacre. Newton et Curie se contentent de regarder la séance de torture en se tenant un peu éloignés, et en confirmant dans leur tête le caractère "violent" de Göndul.
Pendant ce temps, dans la chambre de Belzébuth, ce dernier est assis sur une chaise, en portant uniquement une chemise blanche ouverte sur le haut du corps. Belzébuth semble cependant anxieux et reste sur ses gardes, ressentant un inquiétant présage de mort quelque part autour de lui. En réalité, il ressent de loin la "petite blague inoffensive" de Göndul. Adamas arrive par-derrière avec la tenue de combat de Belzébuth, lui suggérant de s'habiller en vue du huitième match qui doit commencer dans quelques dizaines de minutes. Mais Adamas aussi est perturbé par le bruit des cris de douleur d'Edison, qui retentissent jusque dans cette chambre.
Personnages[]
Dans l'ordre d'apparition :
- Belzébuth
- Mara?
- Adamas
- Poséidon
- Hadès
- Nikola Tesla
- Thomas Edison
- Isaac Newton
- Alfred Nobel
- Galilée
- Albert Einstein
- Marie Curie
- Göll
- Brunehilde
- Göndul