“ | La vengeance ? L'humanité ? Non, rien de tout ça... Si je me bats, c'est parce qu'il est l'heure de se battre. On ne choisit pas comment on naît. Tout ce qu'on peut choisir, c'est comment on vit et comment on meurt. Et ça, la seule chose qui peut te le dicter, c'est ta propre âme ! Nous autres Spartiates sommes les plus égoïstes et les plus déterminés du monde... Et ce combat, c'est ce que j'ai toujours voulu pour ma Sparte ! | „ |
Léonidas à Apollon, au sujet de ses motivations de combattre – Chapitre 83 |
Léonidas est un personnage majeur du manga Valkyrie Apocalypse. Né vers 540 et mort en 480 avant Jésus-Christ, Léonidas Ier de Sparte était le roi agiade de SparteW de 489 à 480. Il est célèbre pour la bataille des ThermopylesW contre les PersesW, au cours de laquelle il affronta 300,000 soldats perses avec l'aide de seulement 300 soldats. Il mourut au cours de la bataille, mais permit de rallier toute la Grèce à la cause de Sparte, et de repousser l'avancée des Perses. Léonidas est réputé pour posséder le dos le plus admirable de l'histoire : la seule vue de son dos redonne du courage et de la vitalité à tout soldat.
Il est l'un des treize champions de l'humanité du tournoi du Ragnarök. Il affronta Apollon lors du neuvième combat de ce tournoi.
Apparence[]
Léonidas possède des cheveux blancs noués en chignon lors de son combat, une assez courte barbe blanche, une forte musculature, une tenue militaire moderne et un cigare en bouche. Quand il ne combat pas, il porte une chemise à fleurs, un bermuda et des lunettes rectangulaires. Il est couvert de cicatrices, sur son corps comme sur son visage.
Personnalité[]
Léonidas est un homme fier et déterminé qui ne recule devant rien. Ceux qui se tiennent derrière lui sont confiants qu'il combattra toujours de l'avant et ne se détournera jamais ; c'est bien pour cela que son dos est admiré à travers la Grèce entière. Léonidas refuse d'ailleurs de se soumettre à la moindre autorité, et passée sa naissance, il compte décider sa vie entière par lui-même. Il n'impose sa volonté à personne, car il croit fermement que chacun devrait décider pour lui-même et mener sa vie comme il l'entend ; selon lui, la seule chose qu'on ne décide pas soi-même, c'est comment on naît. Ainsi, même quand il part faire la guerre à Xerxès, Léonidas part seul sans un mot à ses soldats, et leur laisse le choix de le rejoindre ou non, sans donner l'air de privilégier un choix plus que l'autre de leur part.
Léonidas déteste ceux qui veulent se montrer autoritaires envers lui. Dès qu'Apollon tient à ce que Léonidas se prosterne devant lui, le roi de Sparte fait tout son possible pour que ce soit Apollon qui finisse prosterné devant lui, afin d'apprendre l'humilité au dieu grec. Il déteste aussi les manières raffinées et hypocrites d'Apollon qui donnent l'impression qu'il prend Léonidas de haut ; à la fin de leur combat, le fier Spartiate sourit donc en constatant qu'Apollon est devenu plus viril, au moment où Apollon se met lui aussi à parler grossièrement mais directement. Malgré tout, bien qu'il voue une haine profonde à Apollon, Léonidas ne le combat pas par désir de vengeance. Il a bien sûr montré qu'il avait très envie de briser le visage d'Apollon de ses propres mains, mais vers la fin de leur duel, il nie être motivé par sa haine contre le dieu du soleil. En effet, Léonidas clame combattre uniquement parce qu'il en a fait le choix, car ce choix n'appartient qu'à lui, comme tous les choix de sa propre vie.
Capacités et pouvoirs[]
- Force surhumaine : la force brute de Léonidas dépasse l'entendement. D'un seul coup de poing, il fut capable de briser en morceaux la très haute statue d'Apollon située dans la GérousieW de Sparte. Il fut d'ailleurs capable de grandement blesser Apollon, l'un des meilleurs dieux en combat au corps-à-corps, à grands coups d'arme contondante.
- Endurance surhumaine : Léonidas fut capable de combattre les Perses jusqu'au bout de sa vie lors de la bataille des ThermopylesW. Vers la fin de cette bataille, alors même qu'il était grièvement blessé par des coups venant de centaines de milliers de soldats, Léonidas continuait à se battre avec la même hargne qu'au départ, si ce n'est encore plus violemment. Également lors du Ragnarök, Léonidas fut transpercé de nombreuses fois par les flèches dorées d'Apollon, dont un seul projectile peut entraîner une mort immédiate selon Hermès. Et pourtant, Léonidas continua le combat sans faiblir après s'être pris tant de dégâts mortels, et eut encore la force de crier sans relâche, de s'allumer un cigare et de porter un assaut final plein de vigueur.
- Réflexes surhumains : avec un coup de bouclier bien placé sur un timing parfait, Léonidas fut capable de renvoyer à Apollon l'une de ses flèches dorées citées précédemment, alors même que Zeus considère être le seul à pouvoir voir ces flèches venir, puisque leur vitesse se rapproche de la vitesse de la lumière et que Zeus peut aller jusqu'à arrêter le temps. Mais le fait est que Léonidas est parvenu à dévier ces flèches, sans même réussir à les voir. Zeus considère que cela est dû à l'expérience acquise sur le champ de bataille par Léonidas, après que ce dernier survécut à de nombreux enfers et obtint des réflexes aiguisés à l'extrême.
- Völund : comme tous les treize champions de l'humanité, Léonidas fut associé par le principe du Völund à l'une des treize sœurs Valkyries, qui fusionna son destin avec le sien, puis prit la forme d'une arme pour lui. Ainsi, tant que le Völund est actif, si l'humain meurt, la Valkyrie meurt aussi, et inversement. Ce fut la cinquième sœur des Valkyries, Geirölul, qui combattit avec Léonidas.
- Aspis polyvalent : Geirölul prit la forme d'un aspisW, l'arme de prédilection du roi de Sparte, avec un lambda majuscule sur la partie centrale. Comme il s'agit d'un simple bouclier, sa portée devrait être minimale. Mais cet aspis devint une arme à longue distance grâce au pouvoir de Geirölul, transcrit dans son nom qui signifie en vieux norrois : "la porteuse de lance". Ainsi, il s'agit d'une arme capable de se transformer mécaniquement en d'autres armes.
- Fléau : l'aspis peut prendre la forme d'un immense fléauW en laissant sortir une longue chaîne du dos du bouclier. Léonidas peut attraper la chaîne et la faire tournoyer afin frapper des cibles à longue distance avec son bouclier.
- "Phalanx Asanatos" : Léonidas porte un assaut de lancers rapides de son bouclier tout en gardant la chaîne en main. Il attaque donc de très nombreuses fois vers l'avant en tirant sur la chaîne du fléau, à une vitesse assez élevée pour laisser des images rémanentes de son bouclier.
- Scie rotative : la partie centrale du bouclier peut se soulever afin de laisser de grandes lames tournantes en sortir. Le bouclier reste au bout d'une longue chaîne sous cette forme, donc il devient un croisement entre une véritable scie rotative et un fléau.
- "Phalanx Enchos" : Léonidas envoie son bouclier vers l'avant en tirant brusquement sur la chaîne, et laisse donc la scie rotative percuter l'adversaire de front. Une fois que l'adversaire est touché, Léonidas lève la chaîne, ce qui fait monter le bouclier vers le ciel, et l'adversaire avec. Ce dernier s'en retrouve projeté très loin en arrière, de part la montée du bouclier et la rotation des lames.
- "Phalanx Enchos - Prodevo" : Léonidas laisse les lames de sa scie rotative se planter dans le sol, avant de la forcer à foncer droit vers l'adversaire. En s'arrachant du sol, le bouclier à lames gagne ainsi en vitesse, ce qui permet d'optimiser la rapidité et les dégâts du "Phalanx Enchos".
- "Phalanx Enchos" : Léonidas envoie son bouclier vers l'avant en tirant brusquement sur la chaîne, et laisse donc la scie rotative percuter l'adversaire de front. Une fois que l'adversaire est touché, Léonidas lève la chaîne, ce qui fait monter le bouclier vers le ciel, et l'adversaire avec. Ce dernier s'en retrouve projeté très loin en arrière, de part la montée du bouclier et la rotation des lames.
- Marteau : l'aspis peut prendre la forme d'un marteau à tête sphérique, de la forme d'un bilboquet, et rattaché par une chaîne à la partie centrale du bouclier, que Léonidas tient dans son autre main comme un bouclier rétréci. Ce marteau permet de causer des dégâts contondants à portée réduite, mais à puissance maximisée.
- "Phalanx Nemesis - Le marteau de fer brise-dieu" : Léonidas soulève simplement l'aspis sous forme de marteau au-dessus de sa tête, puis déchaîne toute sa force brute dans un puissant coup de marteau vers le bas. Cette technique permit de porter une large cicatrice au visage d'Apollon et de démolir le sol de l'arène.
- "Alethéia Spartê - Bouclier de la vérité" : Léonidas sacrifie toute la partie mécanique de son aspis. Il ne reste alors plus qu'un bouclier tout ce qu'il y a de plus simple, avec un lambda majuscule gravé dessus. Selon Brunehilde, ce choix d'arme finale par Léonidas illustre la puissance destructive des phalangesW, des formations militaires de fantassins chargeant vers l'avant avec leurs boucliers et détruisant tout sur leur passage. En portant ce bouclier, la puissance des charges offensives de Léonidas est à son apogée, et une pression intimidante émane de lui.
- "Phalanx Lambda" : l'attaque finale de Léonidas. Il tient l'Alethéia Spartê devant lui et fonce tout droit telle une lance, sans s'arrêter avant d'avoir écrasé l'adversaire avec l'impact de son bouclier.
- Fléau : l'aspis peut prendre la forme d'un immense fléauW en laissant sortir une longue chaîne du dos du bouclier. Léonidas peut attraper la chaîne et la faire tournoyer afin frapper des cibles à longue distance avec son bouclier.
- Aspis polyvalent : Geirölul prit la forme d'un aspisW, l'arme de prédilection du roi de Sparte, avec un lambda majuscule sur la partie centrale. Comme il s'agit d'un simple bouclier, sa portée devrait être minimale. Mais cet aspis devint une arme à longue distance grâce au pouvoir de Geirölul, transcrit dans son nom qui signifie en vieux norrois : "la porteuse de lance". Ainsi, il s'agit d'une arme capable de se transformer mécaniquement en d'autres armes.
Citations[]
“ | Nan, je passe mon tour. Tout le monde se fiche de qui passe au neuvième tour. Si je dois combattre, ça doit être en premier ou en dernier. Alors reviens quand tu auras une meilleure offre pour moi. | „ |
Léonidas à Brunehilde, venue lui demander de combattre au neuvième combat – Chapitre 78 |
“ | Écoute-moi bien, fillette. Il n'y a que trois choses que j'aime en ce monde. La première, lire un bon livre dans un hamac. La deuxième, déguster un verre de vin avec du fromage de Sparte. Et la troisième, défoncer la gueule de ces putains de soi-disant dieux de merde pour leur apprendre l'humilité de mes propres mains ! Maintenant, je m'en vais buter cette enflure au nom de Sparte !! | „ |
Léonidas à Göll, qui semblait terrifiée que Léonidas ose insulter un dieu – Chapitre 78 |
“ | "En finir" ? Mon cul, ouais ! Putain de merde... "Je t'honorerai", "je mettrai fin à tes souffrances", et puis quoi encore !? Tu crois que ça me fait plaisir, d'entendre ça de la grosse gueule d'un petit enculé comme toi, hein !? À qui tu crois que tu t'adresses ? Je suis Léonidas, roi de Sparte !! | „ |
Léonidas à Apollon, avant leur échange final – Chapitre 83 |
“ | Ah ouais...? Je suis heureux de l'entendre ! Nous sommes les plus forts !! Nous sommes des Spartiates !!! | „ |
Les derniers mots de Léonidas à Hagis et ses troupes, avant d'aller au Niflheim – Chapitre 83 |